Mémorial de la bataille de Saint-Eustache



 Après la bataille de Saint-Eustache, les patriotes qui s'échappent étaient intercepté par les forces britanniques. Voici un dessin qui montre le conflit entre ces deux forces et la forteresse de patriotes, qui était allumé en flammes.


De toutes les batailles qu'on avait l'année dernière, qui peut oublier la bataille à Saint-Eustache? Oui, c'était durant cet événement tragique que les derniers patriotes du Bas-Canada ont été détruits. Après les batailles de Saint-Charles et Saint-Denis, tout ce qui restait était le bastion à Saint-Eustache. Le 14 décembre 1837, Général John Colborne, le chef de l'armée britannique en Amérique du Nord britannique, a guidé une armée au village en Saint-Eustache. L'armée consistait 1200 soldats du gouvernement, un régiment de 600 personnes de la garnison du Québec, une douzaine de cannons et plus de 200 bénévoles qui venaient de Montréal et Saint-Eustache lui-même. Comment, alors, est-ce que c'était possible pour les 200 patriotes qui restaient de gagner dans cette situation?



Cependant, même si la victoire était loin de leur prise, le courageux Dr Jean Olivier Chénier, un des chefs des patriotes, était déterminé à se battre contre. Il aidait à s'échapper les patriotes et gardait quelques hommes dans l'église, qui a servi comme leur forteresse, et il se précipitait bravement vers Colborne et l'armée. Après une lutte vaillante, Chénier a été frappé directement dans la poitrine par une balle lancée par l'ennemi, et il tombait lourdement sur le plancher qui était couvert avec de neige. Même si les autres patriotes ont été capables de s'échapper de Saint-Eustache à cause de Chénier, des centaines d'entre eux ont été pris comme prisonniers avant qu'ils ont quitté la frontière américaine. En tout, soixante-dix patriotes et trois soldats de l'armée sont morts. Laissons-nous jamais oublier ce que ces héros ont fait pour battre contre ce gouvernement irrémédiable.